Jérusalem Entre histoire et espoir
Des compromis politiques et l’esprit de fraternité, comme le sentiment de l’intérêt ou du salut collectif vont devoir l’emporter sur des attitudes crispées et fétichistes ; les identités culturelles respectables doivent laisser la première place à une identité plus sacrée encore : celle de l’humanité que les trois monothéismes juifs, chrétien et musulman ont exprimée. Dans cet ouvrage de nombreux rappels historiques permettent de mieux comprendre la dramaturgie symbolique de
La Palestine a-t-elle été à la fois promise aux Arabes et aux Juifs pendant la Première Guerre mondiale comme il est d’usage de le penser ? Comment l’intervention des grandes puissances et de la communauté internationale – la Société des Nations puis l’Organisation des Nations unies – a-t-elle en partie scellé le sort de cet Orient complexe ? Et quel rôle tiennent les nationalismes arabes et le sionisme nés à
Deux femmes mystiques, si différentes et si semblables, l’une indienne, sage bengali, l’autre française, petite paysanne de la Drôme ; l’une hindou, l’autre catholique, deux âmes d’exception rayonnantes qui touchaient profondément ceux qui les approchaient. L’une par son regard lumineux, l’autre par sa voix sereine et joyeuse. Ni maître, ni gourou, leur connaissance ne venait pas de leur érudition mais d’une formidable intuition qui mettait les âmes à nu. L’auteur
Ce livre est à la fois tragique et optimiste. Tragique, car Boris Cyrulnik et Boualem Sansal s’interrogent sur les racines des guerres qui font rage aujourd’hui en Méditerranée. Ils revisitent les périodes de fracture qui s’étendent de l’hégémonie ottomane à la conquête du Royaume arabe de Grenade, de la découverte des routes océaniques vers les Amériques à l’époque moderne et aux ambitions coloniales. Ils abordent les antagonismes entre une chrétienté
Pourquoi ce livre ? Intervenant l’une et l’autre sur la scène intellectuelle et médiatique française et sur des thèmes assez semblables, il était inévitable que nous ayons envie de nous rencontrer et que nous y parvenions un jour. L’une est rabbin, l’autre est islamologue. L’une est femme et l’autre homme, et ce n’est pas une mince différence ! Juive ou musulman, nous le sommes chacun de manière singulière… Il y
Le numéro 177 est dédié à Jérusalem, cité de la paix, mais aussi épicentre de tous les conflits ; ceux en particulier qui secouent les Proche et Moyen Orients ; mais aussi de nombreuses autres régions du monde. Ce numéro comporte une analyse historique de ces conflits ainsi que des témoignages de pèlerins ou de simples voyageurs. Il s’achève sur la belle réalisation de Neve Shalom et plusieurs réflexions sur les effets pacificateurs du dialogue.
Le 3 mai dans les Cévennes, la conférence « Un témoignage pour la paix » parlera du village nommé « Wahat al-Salam – Neve Shalom (Oasis de la Paix) ». Dans ce village d’Israël, vivent en paix des Arabes et des Juifs.
A l’occasion du 50ème anniversaire de la création de la Comunauta Sant’Egidio, monsieur René-Samuel Sirat, Grand Rabbin émérite de France, a donné une conférence à Rome après avoir été reçu par SS le pape François : « De la génération des Justes des Nations à la génération des Justes qui vont préparer l’arrivée du Messie de Paix, en passant par celle du dialogue interreligieux ».
La conférence « Comment l’islam a-t-il évolué depuis ses origines ? » sera donnée le 20 avril 2018 à Saint Mandé, par le Professeur Mohammad Ali Amir Moezzi, Professeur des Universités, Directeur d’études à la Sorbone et spécialiste de la pensée islamique. Cette conférence appartient au cycle de conférences « Les monothéismes aujourd’hui : qu’ont-ils encore de commun avec leurs origines ? », organisé par l’association culturelle indépendante « Cordoba »
Suite à la profonde émotion due à l’assassinat de Madame Mireille Knoll, Monseigneur Michel Aupetit, archevêque de Paris et le Docteur Dalil Boubakeur l’Institut Musulman de la Grande Mosquée de Paris ont émis deux communiqués qui témoignent des mêmes sentiments d’horreur, de chagrin et de ferme condamnation de cet acte.