La Fraternité d’Abraham souhaite à tous les disciples de Jésus-Christ, dispersés à travers le monde, en Orient comme en Occident, un Noël de paix et de partage fraternel.
Depuis le premier Noël, la venue parmi les hommes du Fils de Dieu inquiète les puissants. Voyant en ce bébé un concurrent redoutable, le roi Hérode avait fait assassiner tous les enfants de Judée nés en même temps que lui. Aujourd’hui encore, les appels à la trêve de Noël se font entendre, trop souvent en vain, sur les théâtres des guerres. Mais les chrétiens savent que ce tout-petit est Celui qui a « vaincu le monde », comme il le proclame lui-même à la veille de sa passion dans l’Evangile de Jean.
Noël nous renvoie à cette ville de Bethléem où Jésus serait né : Bethléem, aux portes de Jérusalem, dont elle est aujourd’hui séparée par un haut mur de méfiance ; Bethléem, où les pèlerins viennent se recueillir à la grotte de la Nativité.
Noël est bien plus qu’une fête chrétienne. Un peu partout, au terme d’un automne fatigant, il est prétexte à agapes familiales.
Nos vœux vont à tous ceux qui, ayant mis à l’écart pour quelques temps leurs soucis, et résolus à regarder la vie d’un œil neuf, observeront cette trêve de Noël.
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