Au nom d’Allah
Nous publions ici cette réaction de l’un de nos lecteurs – Frère Abel – au discours du Pape François prononcé à Ur patrie d’Abraham le 6 mars 2021, dont nous avions publié le texte dans notre dernier numéro de mars 2021.
Nous publions ici cette réaction de l’un de nos lecteurs – Frère Abel – au discours du Pape François prononcé à Ur patrie d’Abraham le 6 mars 2021, dont nous avions publié le texte dans notre dernier numéro de mars 2021.
La Fraternité d’Abraham relaie une interview de Hervé Elie Bokobza conduite par notre ami et Vice-Président Jean Corcos autour de la sortie du livre De la violence juive. Les questions suivantes furent abordées : Dès ton premier chapitre tu donnes deux exemples de commandements du Deutéronome – celui relatif au « fils rebelle » que l’on doit conduire au Temple pour qu’il soit lapidé, et celui de la « ville séduite », pratiquant l’idolâtrie
Au début de ce confinement, mes lectures bibliques quotidiennes m’ont conduit à lire ce passage du Livre du Lévitique qui présent l’exigence des années sabbatiques. Et de fait; ce confinement a été vécu pour beaucoup, dont je fais partie, comme un temps sabbatique. Sûrement sans toute la rigueur et fidélité avec laquelle nos frères juifs vivent le sabbat; qu’ils pardonnent une telle comparaison. Pour beaucoup ce temps suspendu, désactivé, fut
Chers amis, Un grand merci d’abord pour les contributions très riches qui ont déjà nourri ce journal des confinés. A mon tour je viens vous faire partager quelques réflexions inspirées par cette grave crise que nous vivons depuis fin janvier. Un événement inattendu et quasi imprévisible Aucun savant n’avait entendu parler de ce Coronavirus 2019 il y a 6 mois. La surprise a été totale et sa contagiosité prodigieuse a
Chaque soir, nous sommes des centaines de millions, dans le monde entier, devant nos téléviseurs, à suivre le décompte macabre des morts avant d’aller applaudir les nouveaux héros des temps modernes que sont les soignants. Ce temps d’épidémie et de confinement nous interroge sur notre rapport à la mort et au courage. Cela m’a remis à l’esprit un livre du théologien protestant Paul Tillich, paru dans les années 50 :
Me voici écrivant, à mon tour, « mon » journal d’un confiné. M’ont précédé des textes en parfait reflet de ce que nous sommes, chacun différent, plus ou moins idéalistes ou réalistes, plus ou moins atterrés par ce que vous vivons tous ensemble depuis plus d’un mois. Autant le dire tout de suite, ce que j’écrirai ici ne surprendra pas ceux qui me connaissent un peu : ingénieur pendant toute ma vie professionnelle,
Chers membres de la Fraternité d’Abraham, chers amis, J’espère que vous allez bien dans vos confinements respectifs et que vous protégez bien vos santés respectives et celles de vos proches car ce petit virus est un vrai tueur en série qui vient réveiller l’humanité entière et appuyer sur le frein d’urgence. C’est ce que nos « dirigeants » auraient dû faire depuis au moins 60 ans et ne l’ont pas fait pour des raisons de pouvoir et d’accumulation
J’ai entendu que la Présidente de la Commission européenne et d’autres Européens convaincus ont souligné qu’il fallait surmonter une certaine forme d’égoïsme national. Nous avons un besoin énorme de l’Europe, pour les aspects sanitaires bien sûr mais surtout pour surmonter la crise économique qui nous attend, pour réagir aux excès de la mondialisation (je dis bien excès car nous ne sortirons pas de l’immense village qu’est devenu le monde). Il
Nous y sommes. Pas de doute…. En quelques semaines : l’impossible est devenu possible. Notre monde a basculé dans un autre monde Pas de doute, nous sommes dos au mur. Le sentier est étroit, grand le risque de chute dans un ravin profond. La brèche est immense dans la coque, le navire prend eau de toutes parts… Pas de doute, il faut changer quelque chose. En réalité nous le savons, mais
Chers amis, j’ai reçu tous vos messages qui m’ont fait chaud au cœur. Ils sont à l’image de notre association, la Fraternité. Après avoir été atteint du virus, et après avoir passé des moments très difficiles, je reste à la maison et me soigne comme il se doit. Je suis toujours fragile et fais très attention. Permettez-moi, aujourd’hui et malgré ma maladie d’évoquer l’impact du Coronavirus sur la vie sociale,