Billets
Lettre de Savoie, 2 avril 2020 Je reste comme la majorité d’entre-nous, pas plus, pas moins, mobilisé autour de nos malades en Savoie, en respectant à la lettre les consignes de sécurité. Les aumôniers en Savoie sont informés sur les nouvelles dispositions concernant les toilettes mortuaires. Plusieurs dispositions de portée règlementaire sont publiées au journal officiel de ce jour et introduisent de nouvelles modifications des pratiques concernant les personnes décédées :
La bonne référence pour ouvrir cette rubrique c’est « Le Journal d’Anne Franck » cette adolescente confinée dans un appartement clandestin d’Amsterdam de juillet 1942 à août 1944 (née en 1929 à Franfurt am Main en 1929, elle avait 13 ans en 1942). Juive, sa famille s’était réfugiée aux Pays-Bas avant la guerre pour fuir le nazisme. Dès l’occupation et la persécution des juifs en 1940, sa famille s’était cloîtrée dans une
Le dimanche 17 décembre 2017 était diffusée, dans le cadre de mon émission, une interview de Stéphane Girardot. Enseignant et acteur dynamique du dialogue interreligieux, il a fait partager, à plusieurs promotions d’élèves, une découverte des religions monothéistes.
Dans ce texte fort, notre ami Foudil Benabadji, éducateur référent et aumônier en milieu carcéral et hospitalier en Savoie, nous livre son analyse de la radicalisation de certains jeunes musulmans en France et des solutions qu’il estime indispensables de mettre en oeuvre pour contrecarrer les dérives extrémistes.
A partir de début 2015, la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) a publié une série d’études visant à déconstruire les préjugés. Dominique Reynié, Directeur Général de la Fondation, dresse le constat que la majorité des Français ignorent les fondements de cette religion. Il a donc demandé à divers auteurs, tous musulmans, de s’exprimer sur plusieurs thèmes, démontrant que l’islam a toute sa place dans la République.
Le 11 mai 2015, Bernard Esambert publiait « Plaidoyer pour une éthique du libéralisme« . Dans le cadre des travaux de la Fondation Éthique et Économie qu’il a cofondé avec l’Académie des Sciences Morales et Politiques, Bernard Esambert revient sur ce texte fondateur et poursuit le développement de sa pensée suite aux premières conférences qui se sont tenues à l’Institut.
Suleiman, réfugié syrien âgé de 29 ans, se confie à Maguelone Girardot, travaillant à l’ONG Relief and Reconciliation for Syria au Liban. Son parcours le mène de la campagne florissante du sud de Homs à la faculté de droit d’Alep. Non militant, Suleiman est rattrapé par la violence militaire du régime et fuit son pays pour le Liban. Observateur, il décrit tout. Instruit, il analyse. « C’est au nom de tous les anonymes que nous sommes que j’ai souhaité raconter le quotidien de ces cinq dernières années. Je souhaite que vous entendiez le désespoir, mais aussi l’immense envie de vivre qui nous anime. »
Constatant les insuffisances de notre système économique (impact destructeur de l’environnement, inégalités, instabilités), nous avons lancé un programme en plusieurs étapes : (1) Publication en mars 2012, sous le titre « Éthique et Économie » d’une suite d’entretiens, (2) Création en 2013 d’une fondation abritée par l’Académie des Sciences Morales et Politiques : la fondation « Éthique et Économie », (3) Organisation depuis septembre 2015 d’un cycle de conférences à l’Institut de France (Académie des Sciences morales et Politiques). Nous en commençons la publication dans notre revue de mars 2016 pour (4) élaborer, à partir des matériaux recueillis un code éthique de l’économie libérale, et qui pourraient être discutés et approuvés dans une conférence internationale.
Qu’est-ce qu’être une femme dans une société musulmane aujourd’hui ? A la lumière d’expériences faites au Maroc en France, en Allemagne, en Bulgarie, en Israël et en Palestine, Maguelone Girardot, jeune diplômée de sciences politiques, confronte ses impressions aux textes sacrés et aux discours de religieux, d’intellectuels et de militants engagés sur le sujet.
Le dimanche 17 janvier 2016 était diffusée, dans le cadre de mon émission, une interview de notre ami Roland Burrus, membre du Comité Directeur. Ce fut un entretien passionnant, car il était rentré quelques semaines avant du Liban, où il avait participé à une mission de volontariat dans le « Centre de Paix » de l’ONG « Relief and Reconciliation for Syria ».